Gabrielle
Nombre de messages : 118 Age : 32 Date d'inscription : 03/03/2007
| Sujet: Le journal Mer 26 Déc - 14:33 | |
| Londres 1514
Chère journal… Je n’en peux plus… La soif me ronge les entrailles, je n’arrive plus à me contrôler… Depuis que un mal étrange ses emparer de moi, les personnes que je croise me semble de plus en plus appétissante. Je tente de contrôler mon corps affin que je ne laisse pas ce désire étrange me pousser a commettre l’imparable… Mon teint est de plus en plus livide… Mon apparence a changé et étrangement je suis devenue plus attirant, d’un seul regard je semble posséder la force de piéger une personne. Je sens que… Je vais devoir faire quelle que choses que je redoute…
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Il ses passer quelle que choses d’horrible, je n’arrive plus a guider mais pulsion. Je n’arrive plus à me regarder dans un miroir trop honteux de ma propre personne. Je ne comprend pas pourquoi j’ai fait sa. J’ai malencontreusement laisser mais désire prendre la place et j’ai descimer ma famille, je suis maintenant seul, le village veut ma tête. Je dois m’isoler je dois m’éloigner deux, sinon il risquerais de finir de la même façon.
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Je me suis isoler voila près de un ans dans les égouts… Je ne ressent que du dégoût envers la nourriture normal, j’apaises ma faim en me nourrissant de petite bête t’elle des rats et autre… Malheureusement ses animaux on un goût horrible et ne fond que calmer ma faim pour un moment… Je craint que je ne puisse plus résister a mais désire… Je vais devoir chasser ma propre race…
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Il y a un moment que je me nourrie du sang humain… Cela mais devenue une habitude je ne ressent plus de culpabilité humaine… Je tue maintenant comme je les toujours fais avec des animaux… J’ai réussis a changer de ville et me fondre au gens telle un humain normal. J’ai du m’extirper de mon domaine sous terre puisque une nouvelle bête si est infiltrer… Ne connaissant pas ses capacité j’ai décider de ne pas prendre de risque et de m’extirper de sous ses terres pour prendre place avec les humains.
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J’ai trouver la façons de les crées ! D’autre comme moi ! Nous somme maintenant plusieurs et eux aussi en fond d’autre nous devenons de plus en plus en nombre mais nous devons être prudent pour ne pas tuer la race qui nous nourrie. Nous avons trouver enfin la nouvelle race qui résidais dans les égouts pour ce balader plus facilement et incognito… Nous les avons appelez lycan… Il son très fort… Mais puisque je suis le tout premier vampire je réussis à m’attaquer à un seul… Il son peut être plus fort que nous mais par contre il son en nombre moins concentrer que les vampires. Nous avons fait circuler les rumeurs pour que les humains les chasses… Malheureusement il en on fait de même avec nous. Pour l’instant nous ne sommes un comme l’autre que de vague rumeur non fonder… Notre race doit rester plus discret, mais les lycan en fond de même…
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La guerre est éclater, depuis un moment nous, nous montrons plus au jours les humains déjà au courant de notre existence… Il son sur leurs garde plus que jamais… Cela donne a la chasse une tournure plus ardus qui n’est pas pour me déplaire par contre les lycans piétine sur notre territoire… Ses maintenant une guerre ouverte pour centre tuer entre les deux clan pour qui garderas le bétail… Ses a dire les humains… Mais ceux-ci ne sons pas d’accord il on commencer a évoluer leur armement pour nous combattre… Cette guerre promet beaucoup de choses…
~Gabrielle ! Je t’est cherché partout ! Qu’est que tu fait !?
Elle se redressa prestement en cachant le journal dans son dos… Ravalant sa salive devant son père elle sourie avant de glisser discrètement le livre légèrement dans son pantalon et sous son chandail avant de lui répondre
-Hum rien je ne fessais que regard…
La détaillent du regard il pris un moment avant de s’éloigner… Et la prévenant de venir le rejoindre dans une heure. Sortent le journal elle le regarda un moment caressant la couverture du bous de son doigts… Il la fascinait, les vampires et les lycans la passionnais… Elle enferma le journal dans un double fond d’un sac avant dit remette par-dessus tout ses objets normal et mette son sac sur son épaule en quittant la pièce. L’étrange sentiment d’être épier… | |
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